Anavar Oxandrolone : Tout Savoir sur ce Stéroïde Anabolisant

Avec les produits dopants, on peut certes avoir de bons résultats rapidement, mais cela s’accompagne toujours d’effets secondaires indésirables. Son pouvoir anabolisant élevé ne se traduit pas par des gains musculaires exceptionnels dans la pratique. Ainsi, si un utilisateur recherche une prise de masse musculaire importante, il peut opter pour d’autres stéroïdes, tels que le Dianabol, leTrenbolone, l’Anadrol ou la Testostérone. Les comprimés sont pris 2 à 3 fois par jour, afin que le produit soit présent tout au long de la journée dans le corps.

Anavar (Oxandrolone) : cure, cycle, risques et alternative

L’oxandrolone a été prescrit pour promouvoir la régénération musculaire dans les troubles qui provoquent une perte de poids involontaire (comme lors d’une chimiothérapie). Il a également montré une efficacité partielle dans le traitement de l’ostéoporose. Lorsque l’Anavar a été commercialisé pour la première fois, une dose générale de 5 à 10 mg par jour était courante. Cependant, les athlètes et les culturistes prennent maintenant généralement de 15 à 25 mg par jour. Les femmes peuvent généralement obtenir de meilleurs gains musculaires que les hommes sous Anavar, même avec une dose modeste de 5 à 10 mg par jour. Non seulement l’Anavar brûle la graisse sous-cutanée, mais il réduit également la graisse viscérale.

Alternative Légale à l’Anavar

Cet article complet sur l’Anavar vous apportera toutes les clés pour comprendre ce qu’est l’Anavar, ses avantages et inconvénients, ainsi qu’une alternative sans danger et légale. Malheureusement avec l’utilisation abusive des culturistes de ce stéroïde, celui-ci s’est vu avoir une réputation particulièrement mauvaise et obligera le laboratoire à retirer du marché le produit Anavar en 1982. Il est aussi indiqué comme une compensation au catabolisme des protéines causées par l’administration à long terme des corticostéroïdes ou chez les grands brûlés[2],[3],[4]. L’Anavar est un stéroide oral qui a été développé pour traiter l’atrophie musculaire et la perte de poids rapide, c’est un motif fréquent lors de la création d’un stéroide anabolisant. Développé en 1964, par Searle laboratoires, l’anavar est un stéroide léger et doux, mais de qualité. L’Anavar provoque une importante rétention d’eau intracellulaire, ce qui se traduit par des muscles constamment pleins et congestionnés tout au long de la journée.

• Mais il est important de noter que la qualité et la composition de ses produits n’est pas contrôlée.
• De plus, l’action du produit sur la prise de muscles réduit graduellement pour apporter qu’un lot d’effets indésirables.
• Ils se sont immédiatement intéressés aux très faibles effets androgènes de l’oxandrolone par rapport à ses effets anabolisants.
• Le seul avertissement était que les femmes enceintes devaient s’abstenir d’utiliser le médicament.
• Les chercheurs ont qualifié l’Anavar de « efficace et sûr », même lorsqu’il est utilisé à long terme.
• L’Anavar fait partie de ces stéroïdes anabolisants référents dans le monde du bodybuilding.

Les effets sur le mental

L’Anavar se présente sous la forme de comprimés oraux, et ses utilisateurs suivent généralement des cures de 4 à 6 semaines. Enfin, c’est la quasi-absence d’effets endogènes et œstrogènes qui attire les femmes et certains hommes. Et niveau prix, Crazy Bulk affiche un prix plancher bien moins cher que l’Anavar classique. Nous vous conseillons d’opter pour le pack 2 + 1 offert très avantageux pour votre cure sans danger de Anvarol. Selon la forme que l’on consomme, les effets et les effets secondaires peuvent varier. En effet, l’une des règles importantes dans le bodybuilding pour gagner du muscle demeure dans le volume total des charges que l’on pratique durant toute une séance.

Autrement appelé Oxandrolone, c’est un médicament qui ne peut être consommé que dans le cadre d’un accompagnement médical. En effet, l’Anavar est en fait un stéroïde androgénique anabolisant (AAS) dont il aurait la réputation d’être tout simplement un dérivé synthétisé de la testostérone. Il a ensuite été approuvé comme médicament orphelin par la Food and Drug Administration (FDA) pour le traitement de l’hépatite alcoolique, le syndrome de Turner, et la perte de poids causée par le VIH. Une fois qu’une femme a acquis une certaine tolérance à l’Anavar, elle peut envisager de commencer ses futurs cycles à 10 mg par jour et d’étendre la durée du cycle à 6 semaines (pour obtenir de meilleurs résultats). Des niveaux plus élevés d’ATP sont bénéfiques pour ceux qui veulent atteindre de nouveaux PR lors de leur prise de masse.

Ils se sont immédiatement intéressés aux très faibles effets androgènes de l’oxandrolone par rapport à ses effets anabolisants. Si les effets indésirables peuvent être modérés à faible dose (moins de 10 mg), il n’en reste pas moins nombreux et à moyens/courts termes, ils peuvent affecter le bon fonctionnement de l’organisme. D’après certains utilisateurs, une cure d’Anavar permettrait de conserver plus de 80% de la masse musculaire acquise au cours d’un cycle, en période de sèche.

Aujourd’hui, on considère généralement que des doses de l’ordre de 5 à 10 mg par jour produisent des résultats notables (en termes de croissance musculaire et de perte de graisse), tout en évitant les effets secondaires de virilisation. Le fait qu’il permette d’augmenter l’énergie et de conserver la masse musculaire a vite attiré l’attention des culturistes/bodybuilders et des athlètes de haut niveau, cherchant à améliorer leurs performances plus rapidement. Cela a véhiculé une mauvaise image, et cette utilisation détournée a conduit à l’arrêt de la production et de la commercialisation de l’Anavar entre 1989 et 1995. De nos jours, il est de nouveau prescrit dans des cas très précis, mais son utilisation comme produit dopant reste totalement illégale. Passé les 80 mg, les effets indésirables lors d’un cycle d’Anavar sont bien plus conséquents et néfastes pour la santé. De plus, l’action du produit sur la prise de muscles réduit graduellement pour apporter qu’un lot d’effets indésirables.

Il n’y avait pas d’instructions de dosage spécifiques aux femmes lorsque l’Anavar a été mis sur le marché. Le seul avertissement était que les femmes enceintes devaient s’abstenir d’utiliser le médicament. Étant donné qu’il s’agit d’une testostérone exogène, l’Anavar va augmenter les niveaux de testostérone de façon spectaculaire. De fortes doses d’Anavar peuvent provoquer des bouffées de chaleur sur le visage ou le corps, et la peau des utilisateurs peut paraître rouge. C’est un signe d’élévation de la température corporelle et (potentiellement) de la pression sanguine.

En amont de cet article, nous avons rappelé que ce médicament était à l’origine utilisé pour traiter les pertes de poids et les grandes faiblesses à la suite d’interventions chirurgicales (entre autres). Par la suite, ce produit a attiré l’attention des pratiquants de musculation, car il permet de garder ses muscles même en période de sèche. Le catabolisme représente probablement la bête noire des https://rhodelhi.com/steroid-39/les-steroides-androgenes-cytomel-font-polemique/ culturistes et Anavar se charge d’éviter ce problème de fonte musculaire. À l’époque, Anavar servait surtout à réduire les risques de perte de poids à la suite d’une pathologie infectieuse, d’une intervention chirurgicale. D’autre part, on le prescrivait pour les grands brûlés parce qu’il reconstruit plus rapidement les tissus maigres du corps et a fini par réduire les temps de séjour à l’hôpital.

Ou pour les athlètes en sèche, qui peuvent perdre leur force en mangeant peu de calories pendant une période prolongée. Il est à noter que si les cures de 4 à 6 semaines sont les plus fréquentes, certains utilisateurs rallongent celles-ci jusqu’à 8 semaines, en fonction de leurs objectifs. Bien que l’Anavar soit considéré comme un stéroïde plus léger que d’autres, il n’en reste pas moins interdit et illégal. Une décision qui n’est évidemment pas anodine et qui découle des effets secondaires et des risques qu’entraine son utilisation. Les séances d’entrainement les plus intenses peuvent causer des douleurs, des courbatures et des lésions qui risquent de ralentir la progression, dans le cadre d’un programme sportif complet.